Partager la publication "Comment rédiger un brief de qualité pour faciliter le travail de son rédacteur ?"
Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir Kévin Jourdan autour d’un thème qu’il maîtrise à la perfection : la sous-traitance en rédaction web. J’utilise également de nombreux rédacteurs pour mes projets et je peux vous dire que l’utilité d’un bon brief n’est plus à démontrer ! Accrochez-vous, l’article est long, mais comme on dit, plus c’est long plus…
Je reparlerais également de Kévin dans un prochain billet où j’aborderai sa formation intitulé « L’aKadémie » ; une formation simple et efficace pour générer des revenus sur ces sites web sans avoir des milliers de visiteurs.
Sommaire
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Sous-traiter, c’est gagner du temps et de l’argent (compte tenu du temps que tu gagnes et que tu peux donc passer à faire autre chose de plus utile sur ton business). Enfin, en théorie…
Parce que trop souvent, notamment en rédaction, sous-traiter consiste plutôt à balancer une patate chaude à son rédacteur et s’attendre à ce que celle-ci revienne sous la forme d’une petite perle. Les miracles arrivent. Mais en général, quand on joue à ce jeu, on a plutôt tendance à obtenir la moitié de ce qu’on attendait. Et c’est normal, en n’ayant fourni que la moitié des informations que l’on souhaitait voir utilisées !
C’est là que survient la perte de temps. Et d’argent. Et d’énergie.
Alors qu’en réalité, tout est une question de méthodologie. Si ton brief est bon, et que le rédacteur est bon, le résultat peut-être excellent.
Dans cet article, je te propose de décortiquer ma méthode de travail quant il s’agit de sous-traiter la rédaction d’articles pour mes différents sites. C’est simple et efficace. Et cela va te faire économiser du temps, et de l’argent.
Il n’y a pas de brief qui tienne sans une vraie phase de recherche en amont.
Le but de chaque éditeur de sites (ou blogueur) au moment de publier devrait toujours être de publier l’article ultime. Celui dont les lecteurs se souviendront comme l’article qui a répondu à toutes leurs questions. Au minimum.
Mais il n’y a pas de secret. Pour publier l’article ultime, il faut forcément passer par la phase de « collecte ultime”. C’est cette phase de recherche, qui peut en effet s’avérer un peu fastidieuse, mais qui va faire une vraie différence entre le prochain article que tu publieras et celui de tes concurrents.
PS : je pars du principe qu’à cette étape tu as déjà identifié ton mot clé principal pour l’article à venir, et qu’on attaque donc la phase de recherche sur la base de celui-ci.
Disclaimer : le processus ci-dessous est celui que je suis dans le cadre de la rédaction d’articles que je qualifierais « d’avancé » où la technicité du sujet impose d’aller « loin » dans la recherche afin d’être capable de produire ce qu’il se fait de mieux. Dans le cadre d’articles plus courts, plus commerciaux, ce processus peut-être simplifié (moins de sources, pas de livre, etc), mais l’idée générale restera identique.
A moins que tu ne te lances dans une niche totalement neuve, il y a fort à parier que ton prochain sujet d’écriture ait déjà été traité par un blog concurrent. Voire plusieurs. Alors plutôt que de tout ré-inventer, l’étape numéro 1 consiste à aller identifier les acteurs les plus solides sur la thématique, et de lister un maximum de ressources traitant de celle-ci.
La méthodologie la plus simple pour cela est bien entendu via une recherche de mots clés sur Google. 1 mot clé, 1 clic, et hop, te voilà avec plusieurs dizaines de blogs qui rankent et donc (à priori), sont susceptibles de te fournir de l’information relativement qualitative sur le sujet choisi.
Ne te contente pas du premier site qui sort, on va le voir ensemble un peu plus bas, tu vas vite réaliser qu’aucun site ne propose une information complète. La clé est donc de lister un maximum de sites, pour avoir un maximum de sources d’informations où puiser toute à l’heure…
Renouvelle l’opération avec quelques variations du mot clé pour élargir ta liste, et passe à la prochaine étape.
Parce qu’internet n’est pas la seule source d’informations qualitative (tu sens l’ironie ?), quand il s’agit d’écrire sur un sujet « technique », il m’arrive, sur certaines niches, d’élargir ma collecte d’informations à l’offline, via un truc ancien, plus trop utilisé, appelé « livre ».
Ok, plus sérieusement. Livre ou Kindle, peu importe, l’idée ici est de chercher à compléter les sources d’informations web identifiées par quelques ressources parfois plus anciennes mais toutes aussi intéressantes et surtout plus complètes (un article VS un bouquin, tu vois l’idée ? ) via à vis de ta thématique.
Identifier les sources en amont pour votre rédacteur web
Un exemple concret. Il y a quelques mois, j’ai travaillé avec un ami sur la rédaction d’un eBook sur la séduction via les applications de rencontres (Tinder, Happen & Co). Dans un premier temps, nous nous étions concentrés sur la collecte d’information disponible sur le web. Des dizaines d’articles sont disponibles sur le sujet (quelle photo publier, quel message envoyer, comment passer du virtuel au réel, etc…). De quoi déjà rédiger un eBook sacrément complet !
Pas mal du tout. Mais ce qui nous a permis de passer un niveau dans la qualité de l’information fournie a été d’élargir notre recherche de sources à l’offline, et d’aller lire quelques classiques sur la séduction en général, mais aussi sur la psychologie (des femmes notamment, oui oui) ou encore la persuasion. Une façon de venir renforcer du contenu web récent et très orienté « application » avec de l’information plus générique, mais aussi plus « scientifique » sur la séduction en général.
Une fois que tu as une liste de ressources à ta disposition, il convient de… lire ces ressources. Et surtout de prendre des notes. Parce que l’objectif est désormais d’en tirer absolument TOUTES les informations intéressantes pour la rédaction de ton article (ou eBook tiens).
Jean Rivière aime répéter dans ses formations qu’il est possible d’être perçu comme un expert sur n’importe quel sujet simplement en lisant assez d’informations sur une thématique choisie, et en étant capable de les synthétiser pour les rendre accessibles à tous. Et il est sans conteste devenu un maître en la matière, capable de te sortir en 1 semaine une formation sur un sujet dont il n’avait jamais entendu parler quelques jours auparavant et te donner l’impression d’avoir fait ça toute sa vie…
Son secret ? L’agrégation de ressources, l’absorption d’informations, et la vulgarisation de celles-ci.
Durant cette phase de lecture, tu vas vite te rendre compte que quasiment AUCUNE source d’information identifiée ne sera complète. C’est à dire qu’aucune source ne répondra à toutes les questions que tes lecteurs peuvent se poser sur la thématique. 1 blog te donnera 2-3 idées, 1 autre t’en donnera 4 autres, un bouquin t’ouvrira de nouvelles pistes de réflexions, etc…
En agrégeant toutes les informations identifiées au sein des différents blogs et livres consultés, tu obtiendras donc une trame plus complète que 90% des articles déjà existants. Faisant de toi, tu l’as deviné, une sorte d’expert sur le sujet !
Sur certains sujets très précis, cette étape à elle seule pourrait te permettre de rédiger un contenu meilleur que celui de tes concurrents… Mais je là mets en 4eme étape, car dans le cadre d’un article avancé, elle ne peut pas remplacer le travail de recherche effectué en 1, 2 et 3.
Cette étape, c’est celle de l’identification des questions / problématiques les plus évoquées sur les forums.
Ok, quand on analyse une thématique, on a tendance à privilégier l’approche quantitative. Identifier un mot clé, observer son volume, et décider de l’inclure ou pas dans son article. C’est important de penser SEO en effet, mais il ne faut pas oublier de penser en tant qu’être humain.
Ce n’est pas parce que quelque chose n’est pas « quantifiable » via Google Keyword Planner qu’il n’existe pas.
Et c’est le cas avec les questions et les problèmes que tu peux identifiés en naviguant sur des forums dans ta thématique. Ces forums sont des mines d’or d’informations, car ils te permettent de « sentir » la niche, de comprendre ton audience, et d’identifier ce qui les intéresse / bloque / titille vraiment à propos d’un produit, d’une marque, d’une problématique, etc…
Un exemple concret :
Sur mes sites pharma, la plupart de mes articles ont un but commercial. Ils sont donc rédigés en intégrant l’intention commerciale la plus élevée possible pour n’attirer qu’un trafic qui soit le plus qualifié possible (et donc le plus facile à transformer en acheteur). Cette intention commerciale, elle se travaille par l’identification de mots clés comme tels.
Mais la réalité du terrain est qu’au delà du nom du traitement, de sa posologie ou de ses effets secondaires (visibles car caractérisés par des requêtes quantifiables), les gens se posent pleins d’autres questions. Et que si je n’y réponds pas, potentiellement, je ne leur apporte pas la réponse à leur question, et je ne lève donc peut-être pas leur objection, et ne les convainc donc pas d’acheter via mon site…
Ainsi, pour chaque article produit créé, je demande à ma rédactrice d’aller lister les questions (impossibles à identifier via une recherche de mots clés classique via Long Tail Pro ou autre) posées par des lecteurs sur des forums tels que Doctissimo ou AuFeminin.
Identifie ces questions. Intègre-les dans ta liste de sujets à couvrir au sein de l’article. Et tu seras très proche d’être pour de bon la ressource ultime sur le sujet en répondant à des questions très terre à terre que les gens se posent, et que tes concurrents ne traitent pas forcément !
Retour au SEO.
Tu as désormais une liste de points (ou arguments) à aborder (via tes sources web / offline), et une liste de questions auxquelles répondre au sein de ton article extraite des forums. On va ajouter à ça une liste de mots clés que Google s’attend à voir au sein de ton article.
Les Latent Semantic Indexing Keywords, ou LSI.
Ce sont ces mots clés, recherches associées identifiées par Google quand tu tapes un mot clé. Exemple ci-dessous avec les recherches associées lorsque je veux écrire un article sur l’achat de niches pour chien :
Ok, cela ne veut pas dire que tu dois TOUS les intégrer (certains sont parfois… assez bizarres), mais cela te donne une idée de quelques mots clés que Google s’attend (aimerait !) à voir dans ton article pour renforcer la sémantique de celui-ci.
Des sujets. Des questions. Les mots clés « attendus » par Google. Et donc pour finir, on va ajouter les mots clés secondaires, ceux sur lesquels tu pourrais aller ranker en longue traîne en les intégrant au sein de ton contenu.
Si tu as déjà ton mot clé principal (on était d’accord en début d’article là dessus non ?), tu as sûrement aussi déjà quelques mots clés secondaires en tête sur lesquels tu souhaiterais ranker. Mais si ce n’est pas le cas, une recherche via un outil comme Insight ou Long Tail Pro peut te permettre de compléter tout ça.
Certains de ces mots clés seront identiques aux LSI identifiés par Google, mais d’autres t’auront peut-être échappé. Ainsi, quand j’ai rédigé mon article sur l’achat / vente de site, c’est cette étape qui m’a permis de lister plusieurs variations autour du mot clé « achat de site web » à intégrer dans mon article pour couvrir un maximum de requêtes longue traîne.
Dans une approche intention commerciale, c’est par exemple l’identification de plusieurs requêtes complémentaires à « Acheter XXX » pour aller également te positionner sur « pas cher », « livraison gratuite », « avis sur XXX ». Tu vois l’idée ?
Dernière étape, bonus, car tout dépend du sujet traité, mais si tu rédiges un article qui a pour but de comparer des solutions / produits, ou de présenter un ou plusieurs produits, un moyen très simple d’apporter plus d’informations que tes concurrents est de faire les 2 choses suivantes :
Des idées en vrac, des mots clés en vrac, des questions en vrac, des produits en vrac, tu as tout ce qu’il te faut pour passer à la seconde partie de cet article : la rédaction du plan parfait et du brief pour ton rédacteur !
Cette étape est critique. Et je prends à témoin Muriel (son profil Upwork est disponible ici), qui répond patiemment depuis plusieurs mois maintenant à toutes mes requêtes de production de contenu pour l’occasion. Si ton article est mauvais, avant de te considérer que ton rédacteur a mal fait son boulot, demande-toi si le brief que tu lui as fourni était à la hauteur.
Le brief est très important pour moi. Surtout pour les premiers articles avec un nouveau client.
Dans la tête du client, c’est toujours clair et certains ont du mal à me dire leurs besoins. Pour l’anecdote, un nouveau client me demande un jour de faire un article de 1000 mots. Son brief : environ 1 000 mots, ton sympa avec un peu d’humour. C’est tout.
Je fais l’article, je lui envoie. Il me répond super texte mais est-ce que vous pouvez mettre des balises H2 au niveau des sous-titres. Je reprends le texte et je le fais. Il me répond «Pardon Muriel, j’ai oublié de vous dire de mettre les mots importants en gras». Je m’exécute (je suis très patiente). Je renvoie une nouvelle fois et là il me demande de rajouter une méta-description et des ancres pour des liens.
Entre le moment de mes envois, de ses réponses, des miennes et des corrections, j’ai perdu 2 heures, et lui au moins autant à attendre la version « parfaite » !
Un bon brief me permet de cerner de suite la demande d’un client, de gagner du temps sur l’écriture mais surtout, permet de ne pas en perdre après l’envoi, pour moi comme pour le client !
Disclaimer : certains rédacteurs (ou agences) sont tout à fait capable de proposer du « clé en main ». Vous fournissez le mot clé ou le sujet, et ils s’occupent de tout (recherches, proposition de plan, etc…). Mais en général, ce degré de travail (et de qualité) a un coût. Et même comme ça, j’ai rarement eu à faire à des partenaires incluant AUSSI l’identification des LSI et des questions forums par exemple…
Et si tu passes par Upwork ou autre plateforme de recrutement de Freelance, mon expérience m’incite à te conseiller de faire ce travail par toi même pour démarrer, à former ton rédacteur plutôt que d’attendre que tout tombe du ciel, car chaque client a son degré d’attente et sa méthodologie, et c’est donc à toi de « transmettre » tout cela.
Concrètement, que souhaites-tu voir traité dans ton article, et dans quel ordre ?
Pour m’aider à structurer intelligemment mes articles, j’ai tendance à… aller voir ce qu’il se fait sur le sujet.
Via des plans de cours disponibles publiquement sur des sites comme Udemy par exemple (ou autres plateformes de eLearning). Il existe des dizaines (centaines !) de cours en ligne, et la grande majorité proposent un aperçu du contenu qui sera abordé, présenté sous forme de sommaire.
Il est possible de faire la même chose grâce aux sommaires (consultables gratuitement sur certains livres) de Kindle vendus sur Amazon. Un petit clic sur « Feuilleter » te donne accès aux premières pages, et donc en général au sommaire du livre.
Ces 2 méthodes peuvent t’aider, dans le cadre d’un article avancé (encore une fois, ce n’est pas forcément aussi compliqué quand tu écris un article court et sur un sujet très précis), à structurer ton plan en suivant ce qui se fait de « bon » sur la thématique.
Dans le cadre d’un article plus court, le moyen le plus facile est également de regarder ce qu’il se fait ailleurs, en copiant un plan déjà existant de l’un de tes concurrents, puis en le complétant de façon logique avec les différents éléments uniques à ton article (tous ceux que tu as récupéré grâce aux recherches additionnelles sur le sujet).
Cela peut aider à donner le ton d’un article de fournir directement ces éléments là. Ce n’est cependant pas toujours facile, et j’ai plutôt tendance à rédiger des balises assez neutres, et à les retravailler une fois l’article livré pour y ajouter une touche « marketing ».
C’est pour moi l’une des éléments clés de tout article. Si tu ne fais pas direct une bonne impression avec ton intro, il y a de fortes chances que tu perdes le lecteur. Sur les articles critiques, je fourni donc le « modèle » d’introduction que je souhaite voir rédigé pour accrocher le lecteur et le pousser à rester sur l’article.
Je suis en général le modèle APP présentée sur son blog (Technique #11) par Brian Dean.
Méthode App : http://backlinko.com/seo-copywriting
APP signifie Agree, Promise, Preview, et cela consiste à faire « dire oui » au lecteur vis à vis d’une situation, avant de lui faire une promesse, et enfin de lui offrir une preview de ce que tu comptes lui apporter au sein de ton article. Si tu lis l’intro de cet article, tu verras qu’elle suit d’ailleurs ce modèle.
Souhaites-tu un article « décontracté », professionnel, écrit à la première personne, ou plutôt comme s’il était rédigé par une équipe de passionnés (nous, ton amateur mais avec du jargon) ? Mieux vaut préciser cela dès le début, rien de plus ennuyeux que de reprendre un article écrit à la mauvaise personne ou de poster quelque chose qui détonne trop avec ce qu’on publie généralement…
Romain, qui gère une équipe de plusieurs rédacteurs et travaille en ce moment sur un silo de plus de 50 000 mots pour l’un de mes sites compare même cela à un choix « tactique » !
Le brief du rédacteur est l’équivalent du choix tactique d’un entraineur de football, c’est la clé !
Il doit être concis et le plus précis possible. J’insiste toujours quasi-exclusivement sur le ton que le rédacteur doit adopter. Il permet de rendre le texte encore plus naturel tout en humanisant l’échange avec l’internaute. Ainsi, un véritable lien se crée entre l’éditeur du site et son trafic, ce qui est évidemment bénéfique pour le ROI général.
Cette « humanisation » est indispensable pour convertir, fidéliser et se bâtir une image de leader.
Des phrases courtes, dynamiques, pas plus de 1 ou 2 virgules.
Des paragraphes pas plus longs que 3-4 lignes. Saut de ligne à chaque « nouvelle ouverture » (Enfin, c’est pourquoi, ainsi, etc…).
Des indications basiques, mais importantes pour éviter d’avoir à re-découper tous vos articles vous-même une fois livrés car ressemblant à des pâtés !
Tu as préparé une liste de LSI et une liste de mots clés secondaires, c’est le moment de t’en servir en fournissant à ton rédacteur ceux que tu souhaites voir intégrés dans l’article. Pense à lui préciser si tu souhaites voir l’un ou l’autre utilisé dans des balises H1, H2 ou autres.
N’hésite pas également à rappeler quelques bases SEO, comme la densité des mots clés attendues, ou encore le fait de bien intégrer les mots clés fournis (quitte à ajouter des mots de liaison quand nécessaire) afin d’éviter le copié-collé de mots SEO qui rendent le contenu indigestes…
Exemple : écrire « Acheter UN site web » au lieu de « Acheter site web » ou « website achat » 🙂
Dernier élément, rarement « utile », mais tant qu’à faire… ne PAS copier-coller de contenu déjà rédigé ailleurs sur le web. C’est rare avec les bons rédacteurs, mais tu n’es jamais à l’abris d’une petite flemmardise de réécriture… L’idéal étant de demander un rapport Copyscape pour chaque article, fastidieux, mais certains le proposent et offrent ainsi une garantie contre le contenu dupliqué.
Enfin, puisque tu as pris le temps de lister tant de bonnes ressources durant la phase de collecte d’informations, pourquoi ne pas en faire profiter ton rédacteur ? J’ajoute ainsi toujours la liste des articles qui m’ont semblé le plus marquants / intéressants et avec le plus d’autorité sur le sujet afin qu’ils puissent servir de base de travail à mon rédacteur.
Le but n’était pas de copier encore une fois ces articles, mais d’avoir une base de travail et d’inspiration au moment de rédiger l’article.
Si tu as pris des notes, tant mieux. Sinon, pas grave car avec Victor, on t’a préparé un petit bonus* qui va te faire gagner du temps la prochaine fois que tu devras rédiger un brief pour un rédacteur. C’est simple et efficace, et je l’utilise pour la majorité de mes demandes de production de contenu. Alors autant t’en faire profiter 🙂
*Votre email pourra éventuellement être réutilisé dans le cadre d’un mailing de la part de Kévin Jourdan ou moi-même mais pas d’inquiétude, ça devrait être plus que rare.
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